Le dommage esthétique temporaire est constitutif d’un préjudice esthétique temporaire (PET)

Il s’agit d’un préjudice esthétique temporaire dissociable des souffrances endurées ou des gênes temporaires. Il correspond à « l’altération de son apparence physique, certes temporaire, mais aux conséquences personnelles très préjudiciables, liées à la nécessité de se présenter dans un état physique altéré au regard des tiers ».

Le médecin expert doit  alors en décrire la nature, la localisation, l’étendue et l’intensité et d’en déterminer la durée.